"Farewell my mate"

Les temps sont moroses alors que se vote en ce moment même la dissolution d'une association qui m'était chère. Un échec collectif n'est jamais aisé à encaisser et celui-ci l'est moins que tout autre...

Mon prochain message sera tourné vers l'avenir et vers cet album en gestation que je vais m'atteler à accoucher le moins douloureusement possible: mais permettez avant cela une parenthèse nostalgique... Cette dédicace devait s'accompagner d'une citation de Walt Whitman, "Farewell dear mate". Pour des raisons assez obscures, j'ai décidé de la gommer à la dernière minute; ce que je regrette à présent. Dieu merci, j'ai eu le réflexe de scanner les dédicaces (commandées) des semaines passées et je peux ainsi réparer mon erreur, si ce n'est sur l'album, au moins ici sur ce blog...

Good-bye my Fancy!
Farewell dear mate, dear love!
I’m going away, I know not where,
Or to what fortune, or whether I may ever see you again,
So Good-bye my Fancy.

(Walt Whitman, Good-bye my Fancy, 1891.)

Les adieux ne sont jamais faciles...

Czek

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Une autre dédicace...

Dans ces périodes qui manquent cruellement de sérénité à mon humble goût, je vous soumets une étrange créature aquatique; une variation sur le thème de la sirène (cher à EtienneM); une chimère océane, mi-femme mi-autre... J'ai agrémenté cette dédicace de quelques vers du Paradise Lost de Byron que je vous recopie ci-dessous:

"Thither let us bend our thoughts, to learn
what creatures there inhabit, of what mould
or substance, how endued, and what power
and where their weakness;"

Et pour parler boutique, je ne suis pas mécontent de ce derrière là. ;-p

Czek

(Comme toujours, cliquez sur l'image pour l'agrandir...)

Hamstrip (épisode 6)

"Mais il récidive, l'animal!?!"

Oui, je sais ce que vous pensez... "Il récidive, c'est un malade... Il faut qu'il se soigne..."

Et vous avez sans doute raison! C'est à ça qu'Hamstrip me sert: me soigner. La catharsis par la bêtise, il fallait y penser...
Je vous livre donc l'épisode 6 d'une saga qui n'a pour seules queue et tête que celles de son rongeur de héros. Et c'est bête un rongeur...

(Cliquez sur le strip pour l'agrandir)


... et pardon, encore une fois.

Czek